Et si je ne mettais pas de titre?
ça fait longtemps que je n'ai pas posté. Trop longtemps. Ainsi il est temps de se mettre à l'ouvrage.
Pourquoi je suis sur mon blog alors que je ne l'ai pas touché depuis 3 mois, je ne sais pas trop... Mais ce qui me pousse à écrire maintenant c'est le post que j'avais du survoler à l'époque et qui m'a profondément touché en le relisant...
"c'est pas le niveau de langue qui importe dans ce post... mais d'avoir de tes nouvelles pour l'âme soeur (au sens propre) qui vit loin de toi et à peu de temps à consacrer à ceux qui en mériteraient le plus"
Merci, merci, merci.
On dit toujours que les parenthèses ne sont finalement qu'un complément d'informations habituellement, et bien on pourra dire que celles-ci sont fortes en émotion!
Suite, à cette petite mise en bouche, il me faut satisfaire mon besoin de parler de moi, chose qui tombe bien puisqu'un blog est justement un lieu où l'on se peind (comme dirait notre ami Rousseau) à sa manière. Qu'importe la pensée des gens, c'est la mienne à l'heure actuelle!
Du temps a coulé depuis mon dernier post et des évènements ont traversé mon existence. Globalement, et il faut bien le dire, ça va mieux.
Un déclic entre mon père et moi m'a fait m'éclipser pendant quelques temps chez celle que je pourrais considérer comme une seconde mère tant elle a été présente pour moi. Une période de flottements est donc apparue depuis cet instant et d'ailleurs elle n'est pas réellement terminée, qui sait ce qu'il peut arriver? Le plus important est passé, j'ai pu réintégrer mon vrai chez moi qui bénéficie d'une valeur importante pour moi : la connexion internet. Oui, la majorité va crier au scandale, au foutage de gueule, il est inutile de dire que j'ai honte de le dire mais une bonne connexion me manquait... Bon, 'faut pas abuser non plus, ya aussi qu'il était temps tout simplement.
Ce retour a d'ailleurs été marqué par une surprise : on vire la moquette de ma chambre pour laisser place à un parquet flambant neuf d'un blanc cassé qui poutre. Ca a aussi été l'occasion d'une cuite de qualité avec des gens qui le valent et d'une nuit passée dans un état minable. Que du bon.
En dehors de la vraie vie, ya aussi son contraire : la fausse vie. C'est l'école qui remplit ce rôle dont elle se passerait bien mais malgré ces multiples contestations envers Jules Ferry, rien n'a changé. Pourtant, dieu sait si elle a essayé...
A ce propos, j'ai écrit quelques petites notes ya quelques semaines là-dessus. C'est totalement subjectif forcément, c'était écrit dans un état plus dépressif que vivant mais déjà j'avais trouvé ma citation phare : "L'école, c'est le temple de la dépression."
Il va de soi qu'on ne peut y voir qu'une hyperbole.
On peut éventuellement trouver une relation entre l'esprit étriqué de religieux qui vivraient enfermés dans leur temple et l'esprit dans lequel j'ai pu penser ça. Mais malgré ça, je prends le parti de me sentir quelque peu supérieur à eux puisque même sur le moment, je savais pertinament que c'était une accusation un peu forte envers la création de Ferry et d'autant plus avec une autre vision de la chose et du recul.
Bref, les notes que j'ai prise sur cet ordre d'idée donnaient ça :
L'école, c'est comme un départ. A la rentrée scolaire, tu te prépares psychologiquement, tu dis aurevoir à tout le monde. Un petit peu comme quand tu passes devant la table du type dans un camp de travail. On te dit "laisse tout, tes biens et ton bonheur. Toute façon tu ne reviendras à toi que dans six semaines, pour le moment tu entres dans une phase de léthargie où tu es prêt à suivre ce système scolaire aveuglément."
Apres avoir franchi le seul de l'Ecole, tu te retrouves seul, tu luttes pour ta peau, pour ta survie mentale et scolaire. tu te démènes pour éviter d'entendre la sentence ultime se tourner contre toi : "Tu redoubles, t'es mauvais."
La semaine passée, j'ai revu un ami d'enfance, à vrai dire celui que je connais depuis le plus longtemps. Il fait ses études d'architecte à l'EPFL et on garde toujours contact. Vous vous en foutez? C'est normal. Simplement, il se trouve que c'est amusant de voir les gens évoluer, d'autant plus lorsque vous ne les cottoyez plus pendant un bout de temps et que soudainement vous faites le bilan des changements qui se sont opérés sur son entité. Par exemple, il m'a demandé instantanément : "Alors ça y est, t'es un jeune r3b3lzZ qui écoute du death métal?" et j'ai du lui répondre que non, enfin tout du moins pour le death métal. Je passerais les détails de la conversation qui n'intéresse que moi.
Les vacances ont aussi été l'occasion d'une grande victoire à l'échelle individuelle. En effet, jsuis parti en LAN et on est arrivé 2e, stexcellent et on en est fier.
Habituellement, je ne pas suis sur de moi, même dans mon domaine fétiche et qui me passionne : les jeux vidéos et en particulier la compétition. Beaucoup rejette ces esprit de compétition, dans la vraie vie je suis tout à fait d'accord qu'il est haïssable tout comme l'est le moi de Pascal mais dans le jeu ou plus généralement dans le loisir ; stexcellent.
Je ne vois qu'un moment, en anglais, pour définir la sensation qu'amène un sens de la compétition averti : Thrill Non, ce n'est pas pour faire classe, c'est simplement que le mot sonne bien à mon sens et me rapelle toujours un test de jeu vidéo ultra violent qui était sorti sur Playstation il y a fort longtemps : Thrill Kill. Il l'était d'ailleurs tellement qu'il est interdit en Europe et j'avais une folle envie de l'avoir parce que ça avait l'air bien...
Pour en revenir à ce gros réseaux cablés, et là ce que je vais dire est tout comme les volontés de se confesser de Anelka le footballeux qui s'est misérablement fait remballer par je ne sais quel comité qui déclarait qu'il était trop jeune pour écrire son autobiographie, bref c'est pas très utile pour vous. Pendant une heure, allongé sur mon lit, je me suis fait un looooooong monologue pour me persuader d'être fort, d'être le meilleur et que je n'ai aucune raison d'être un faible. Bref, une sorte d'apologie de mon moi. Salutaire.
Tant est si bien que je suis arrivé avec un moral fort et on est allé aussi loin que l'on pouvait avec des matchs tendus du string comme on dit par chez moi.
Toujours en parlant de ma passion première, j'ai fait l'achat d'un nouveau jeu de compétition : quake 4. ça fait 3 mois que je l'ai est j'ai toujours pas eu le temps de m'y mettre véritablement mais je crois de plus en plus que je ne pourrais commencer à jouer intensivement que pendant les grandes vacances... Bref, ce jeu devait changer ma vision de la compétition, puisque toujours déçu de ne pouvoir aller bien loin à cause de disponibilité ou d'un manque de sérieux des joueurs, un jeu qui se joue en un contre un devait changer la donne. Ici, il n'y a que moi à blâmer si je n'avance pas et ça me plait. Autant le jeu que cet état d'esprit d'ailleurs.
Ma santé morale est restée relativement mauvaise pendant un temps mais depuis peu, deux semaines en fait, ça remonte. En espérant que ce n'est pas passager mais le début d'une longue ascension vers une jubilation personnelle de la vie. J'écris ce pavé dans un esprit optimiste et plein d'entrain, ce qui m'a d'ailleurs permis de le concrétiser je crois. Lorsque l'entrain manque à l'appel, l'inspiration, sa compagne de toujours, le suit dans ses fugues rocambolesques.
D'autres bonnes choses arrivent et c'est tant mieux. Je commence le grand processus du permis de conduire sans brûler les étapes, je passe donc le code pour le moment et j'ai un objectif, très difficile certe, mais que j'essaierai d'atteindre : avoir le permis avant les grandes vacances.
En plus, le spectacle du Cirque du Soleil arrive, j'en ai déjà vu un autre de la même troupe : ce fut un souvenir marquant. Alors j'ai hate. J'aime ce mot, il est si rare à utiliser en pratique...
En espérant que ce gros pavé qui recoupe plein de choses différentes puissent aider certains à me comprendre un peu mieux, moi qui parle pas beaucoup puisque je ne suis pas trop fan des banalités, je le dédie pour le coup à la mystérieuse auteure du commentaire qui fait chaud au coeur. ;) Et j'en profite pour dire qu'il me semble que le féminin de mots comme auteur existe désormais. Bref, ceux qui n'en possèdaient pas avant. Une note finale étrange mais finalement, pourquoi pas?
Chris.
Pourquoi je suis sur mon blog alors que je ne l'ai pas touché depuis 3 mois, je ne sais pas trop... Mais ce qui me pousse à écrire maintenant c'est le post que j'avais du survoler à l'époque et qui m'a profondément touché en le relisant...
"c'est pas le niveau de langue qui importe dans ce post... mais d'avoir de tes nouvelles pour l'âme soeur (au sens propre) qui vit loin de toi et à peu de temps à consacrer à ceux qui en mériteraient le plus"
Merci, merci, merci.
On dit toujours que les parenthèses ne sont finalement qu'un complément d'informations habituellement, et bien on pourra dire que celles-ci sont fortes en émotion!
Suite, à cette petite mise en bouche, il me faut satisfaire mon besoin de parler de moi, chose qui tombe bien puisqu'un blog est justement un lieu où l'on se peind (comme dirait notre ami Rousseau) à sa manière. Qu'importe la pensée des gens, c'est la mienne à l'heure actuelle!
Du temps a coulé depuis mon dernier post et des évènements ont traversé mon existence. Globalement, et il faut bien le dire, ça va mieux.
Un déclic entre mon père et moi m'a fait m'éclipser pendant quelques temps chez celle que je pourrais considérer comme une seconde mère tant elle a été présente pour moi. Une période de flottements est donc apparue depuis cet instant et d'ailleurs elle n'est pas réellement terminée, qui sait ce qu'il peut arriver? Le plus important est passé, j'ai pu réintégrer mon vrai chez moi qui bénéficie d'une valeur importante pour moi : la connexion internet. Oui, la majorité va crier au scandale, au foutage de gueule, il est inutile de dire que j'ai honte de le dire mais une bonne connexion me manquait... Bon, 'faut pas abuser non plus, ya aussi qu'il était temps tout simplement.
Ce retour a d'ailleurs été marqué par une surprise : on vire la moquette de ma chambre pour laisser place à un parquet flambant neuf d'un blanc cassé qui poutre. Ca a aussi été l'occasion d'une cuite de qualité avec des gens qui le valent et d'une nuit passée dans un état minable. Que du bon.
En dehors de la vraie vie, ya aussi son contraire : la fausse vie. C'est l'école qui remplit ce rôle dont elle se passerait bien mais malgré ces multiples contestations envers Jules Ferry, rien n'a changé. Pourtant, dieu sait si elle a essayé...
A ce propos, j'ai écrit quelques petites notes ya quelques semaines là-dessus. C'est totalement subjectif forcément, c'était écrit dans un état plus dépressif que vivant mais déjà j'avais trouvé ma citation phare : "L'école, c'est le temple de la dépression."
Il va de soi qu'on ne peut y voir qu'une hyperbole.
On peut éventuellement trouver une relation entre l'esprit étriqué de religieux qui vivraient enfermés dans leur temple et l'esprit dans lequel j'ai pu penser ça. Mais malgré ça, je prends le parti de me sentir quelque peu supérieur à eux puisque même sur le moment, je savais pertinament que c'était une accusation un peu forte envers la création de Ferry et d'autant plus avec une autre vision de la chose et du recul.
Bref, les notes que j'ai prise sur cet ordre d'idée donnaient ça :
L'école, c'est comme un départ. A la rentrée scolaire, tu te prépares psychologiquement, tu dis aurevoir à tout le monde. Un petit peu comme quand tu passes devant la table du type dans un camp de travail. On te dit "laisse tout, tes biens et ton bonheur. Toute façon tu ne reviendras à toi que dans six semaines, pour le moment tu entres dans une phase de léthargie où tu es prêt à suivre ce système scolaire aveuglément."
Apres avoir franchi le seul de l'Ecole, tu te retrouves seul, tu luttes pour ta peau, pour ta survie mentale et scolaire. tu te démènes pour éviter d'entendre la sentence ultime se tourner contre toi : "Tu redoubles, t'es mauvais."
La semaine passée, j'ai revu un ami d'enfance, à vrai dire celui que je connais depuis le plus longtemps. Il fait ses études d'architecte à l'EPFL et on garde toujours contact. Vous vous en foutez? C'est normal. Simplement, il se trouve que c'est amusant de voir les gens évoluer, d'autant plus lorsque vous ne les cottoyez plus pendant un bout de temps et que soudainement vous faites le bilan des changements qui se sont opérés sur son entité. Par exemple, il m'a demandé instantanément : "Alors ça y est, t'es un jeune r3b3lzZ qui écoute du death métal?" et j'ai du lui répondre que non, enfin tout du moins pour le death métal. Je passerais les détails de la conversation qui n'intéresse que moi.
Les vacances ont aussi été l'occasion d'une grande victoire à l'échelle individuelle. En effet, jsuis parti en LAN et on est arrivé 2e, stexcellent et on en est fier.
Habituellement, je ne pas suis sur de moi, même dans mon domaine fétiche et qui me passionne : les jeux vidéos et en particulier la compétition. Beaucoup rejette ces esprit de compétition, dans la vraie vie je suis tout à fait d'accord qu'il est haïssable tout comme l'est le moi de Pascal mais dans le jeu ou plus généralement dans le loisir ; stexcellent.
Je ne vois qu'un moment, en anglais, pour définir la sensation qu'amène un sens de la compétition averti : Thrill Non, ce n'est pas pour faire classe, c'est simplement que le mot sonne bien à mon sens et me rapelle toujours un test de jeu vidéo ultra violent qui était sorti sur Playstation il y a fort longtemps : Thrill Kill. Il l'était d'ailleurs tellement qu'il est interdit en Europe et j'avais une folle envie de l'avoir parce que ça avait l'air bien...
Pour en revenir à ce gros réseaux cablés, et là ce que je vais dire est tout comme les volontés de se confesser de Anelka le footballeux qui s'est misérablement fait remballer par je ne sais quel comité qui déclarait qu'il était trop jeune pour écrire son autobiographie, bref c'est pas très utile pour vous. Pendant une heure, allongé sur mon lit, je me suis fait un looooooong monologue pour me persuader d'être fort, d'être le meilleur et que je n'ai aucune raison d'être un faible. Bref, une sorte d'apologie de mon moi. Salutaire.
Tant est si bien que je suis arrivé avec un moral fort et on est allé aussi loin que l'on pouvait avec des matchs tendus du string comme on dit par chez moi.
Toujours en parlant de ma passion première, j'ai fait l'achat d'un nouveau jeu de compétition : quake 4. ça fait 3 mois que je l'ai est j'ai toujours pas eu le temps de m'y mettre véritablement mais je crois de plus en plus que je ne pourrais commencer à jouer intensivement que pendant les grandes vacances... Bref, ce jeu devait changer ma vision de la compétition, puisque toujours déçu de ne pouvoir aller bien loin à cause de disponibilité ou d'un manque de sérieux des joueurs, un jeu qui se joue en un contre un devait changer la donne. Ici, il n'y a que moi à blâmer si je n'avance pas et ça me plait. Autant le jeu que cet état d'esprit d'ailleurs.
Ma santé morale est restée relativement mauvaise pendant un temps mais depuis peu, deux semaines en fait, ça remonte. En espérant que ce n'est pas passager mais le début d'une longue ascension vers une jubilation personnelle de la vie. J'écris ce pavé dans un esprit optimiste et plein d'entrain, ce qui m'a d'ailleurs permis de le concrétiser je crois. Lorsque l'entrain manque à l'appel, l'inspiration, sa compagne de toujours, le suit dans ses fugues rocambolesques.
D'autres bonnes choses arrivent et c'est tant mieux. Je commence le grand processus du permis de conduire sans brûler les étapes, je passe donc le code pour le moment et j'ai un objectif, très difficile certe, mais que j'essaierai d'atteindre : avoir le permis avant les grandes vacances.
En plus, le spectacle du Cirque du Soleil arrive, j'en ai déjà vu un autre de la même troupe : ce fut un souvenir marquant. Alors j'ai hate. J'aime ce mot, il est si rare à utiliser en pratique...
En espérant que ce gros pavé qui recoupe plein de choses différentes puissent aider certains à me comprendre un peu mieux, moi qui parle pas beaucoup puisque je ne suis pas trop fan des banalités, je le dédie pour le coup à la mystérieuse auteure du commentaire qui fait chaud au coeur. ;) Et j'en profite pour dire qu'il me semble que le féminin de mots comme auteur existe désormais. Bref, ceux qui n'en possèdaient pas avant. Une note finale étrange mais finalement, pourquoi pas?
Chris.
4 Comments:
que dire... un grand sourire suffirait mais, malheureusement, je suis dans l'incapacité de fournir ce genre d'article par correspondance virtuelle. Quoique, n'es-tu pas en train de sourire?
Aussitôt reçu, aussitôt connectée.
Il est vrai que ca fait fort longtemps... A quand un prochain pot, sur la terrasse d'un café parisien, au soleil, à faire le point sur des années de vie?
Je pense arriver à peu près, malgré tout ec qui peut nous séparer, à dicerner en effet un optimisme nouveau. Aurais-tu enfin laché ton rôle, oublié tes liens "imaginaires", pour aller de l'avant?
"les choses ne sont impossibles que parce qu'elles nous semblent impossibles".
Il y a eu, il y a très peu de temps, un sucide dans mon lycée, un gars que je connaissais. Ca m'a de nouveau fait réfléchir sur la vie, sa valeur, notre devoir d'affronter la vie telle qu'elle se présente à nous.
Comment alors ne pas repenser a cette passion de l'absolu que nous partageons et qui fait, je pense, cet amour de la vie qui nous ronge et nous pousse inlassablement?
J'ai eu l'occasion de parlé avec quelqu'un (qui prend à présent beaucoup de place dans mon coeur, dans ma vie et dans mon avenir) du voyage, au milieu des champs de blé... je ne sais pas si tu te souviens.
En en reparlant, je me suis rendue compte que tu avais été la seule personne avec qui j'avais pu partager ca. Personne d'autre depuis, même pas une privilégiée à qui j'ai tenté de faire découvrir ces sensations si hors du commun.
Enfin, je me perds, ces mots sont dits en vrac. Il y aurait tant de choses à dire...
Contente de voir que ca va mieux en tout cas, et que tu prends de la vitesse sur le chemin du bonheur.
Et n'oublie pas, "on en peut pas regarder les étoiles quand on a un caillou dans le soulier". Débarrasse toi de ce qui t'encombre, fait abstraction du négatif et du superflux... Soi toi même, ca en vaut tellement la peine!
Tendres bises venues de loin
La Mystérieuse Auteure
à son âme soeur
Wouah ! et sinon l'école comment ça c'est passé
On se connait? :D
Qui ?! qui a osé usurper mon nom ? ><
Enregistrer un commentaire
<< Home